Enfin un peu de matière pour ce blog! En effet, depuis quelques temps, 2 petits mois environ, pas ou trop peu de choses intéressantes à narrer, si ce n’est moult incidents constitués d’horreurs ET d’erreurs… Donc peu de motivation à écrire et raconter mes aventures solitaires du coté obscure du poker ! Je dis coté obscure car je pense avoir cerné mon problème : Gestion de BR catastrophique pour ne pas dire inexistante. J’ai monté par deux fois, deux belles BR, grâce à une rigoureuse gestion et un respect des bases. Mais dès que je m’égare, c’est la descente aux enfers. Il faut que je retrouve la force et l’envie. Celles-ci devraient revenir avec le temps et les cartes quand je runerais à nouveau normalement (je n’ose pas dire good ;-)
Cependant, comme Tor, je vais continuer (essayer tout du moins) à poster régulièrement pour que le projet du blog vive.
Je disais donc un automne morose, sans résultats marquant, sans résultats du tout même (presque), l’encéphalogramme de la grenouille. Malgré tout le moral est là, et j’arrive maintenant à relativiser pour accepter cette put*** de variance qui nous fait tant de mal… Je me dis que mon tour de good run (allez ! j’ose ;-) reviendra forcément.
Même si depuis 10 jours, un sursaut semble s’amorcer avec notamment une victoire dans le championnat SH Dublin lors de la dernière étape qui me permet de prendre le leadership au classement général pour quelques points ! Il reste 2 manches à disputer et j’espère qu’elles vont bien se passer… En tous cas, cela s’annonce chaud car l’écart entre les 5 premiers est très faible ! Mais ce n’est pas l’objet de ce post, et si résultat il y a, cela sera certainement le thème d’un futur article d’ici la fin d’année…
En attendant, on fait tant bien que mal, en vivotant par-ci par-là… Moins de tournoi online, quasi plus de cash, un volume de jeu restreint. Par contre, beaucoup de live vers lequel l’attirance est de plus en plus forte ces derniers temps.
C’est donc motivé et impatient que j’attendais ce week-end du 21/22 novembre ! Après l’échec lyonnais, une chance de se rattraper s’offrait avec l’étape de Dijon du FPT saison V.
Il y a beaucoup de chose à raconter, tant de fait à relater que je ne sais par où commencer et comment m’y prendre pour ne rien oublier… Je vais faire simple en reprenant les évènements chronologiquement à partir de vendredi soir 20h.
Vendredi 20h : Je rentre, avec Laulau, de chez un collègue de l’association chez qui nous avons passé l’après-midi pour un petit tournoi. Je passerais les résultats (plus que moyens). L’objectif était surtout de jouer des mains et encore jouer des mains pour se sevrer pour le lendemain. Seul fait notoire, ma première victoire, après élimination du tournoi, au Carom (une espèce de billard indien. Merci à Tor, au passage, pour son opposition farouche ;-)
De retour donc à Saint-Etienne, nous buvons l’apéro avec l’ami afin d’organiser les derniers détails du week-end. Car en effet, nous partons à deux, comme deux amoureux… du poker que nous sommes!
Bien évidement, l’apéro se transforme en repas et se finira à 1h du matin après un monumental Bad beat au trivial pour cuite !
Je vous laisse apprécier : je ne joue plus que pour le camembert histoire pendant que Laulau est à l’arrache avec 3 quartiers de retard. Mais impossible de conclure car soit les dés me refusent la case soit la question est du type « Comment se prénommait la belle sœur par alliance de Charles Quint lors de son 3ième mariage ? »… Tant est si bien qu’il finit par égaliser et nous voilà sur le même camembert qu’il atteint du premier coup pour découvrir cette question « Qui a-t-on surnommé la pucelle d’Orléans ? ». Même au trivial, les cartes sont contre moi ! Lol !
Samedi matin 6h, le réveil sonne. La verticalisation corporel est délicate. La framboisine absorbée la veille révèle tous son éclat en bouche. Et pourtant il faut se lever. Le départ est fixé à 7h, pour une arrivée prévue vers 8h30 au palais des congrès de Dijon. 8h30, car moi je n’ai pas de ticket et il va donc me falloir chatter une place via la liste d’attente.
Le trajet se déroule sans soucis et nous débarquons dans la capitale des ducs de Bourgogne à l’heure escomptée. Une vingtaine de personne attende déjà. Et parmi eux, 5 bressans arrivés en premier vers 6h30.
Un contournement plus tard de la mini queue pour saluer les collègues et me voilà bien placé en liste d’attente où je serais finalement en 14ième position. Merci donc à eux pour la « gâche » ;-).
Il est 10h30 et nous avons 3h30 à tuer avant le début du tournoi. Opération facile pour nous puisque j’ai un pied à terre en bourgogne! Ma belle famille habitant la bourgade dijonnaise, nous prenons nos quartiers pour une petite sieste réparatrice et un repas.
Retour à 13h30 au palais des congrès, il y a un peu d’anxiété quant à ma participation. Mais je suis très vite rassuré quand l’un des directeurs de tournois annonce que l’ensemble de la liste d’attente, environ 80 personnes, devrait pouvoir participer sans problème. Très rapidement je suis appelé et me retrouve dans la salle, table 28 siège 5.
Nous somme finalement 539 combattants dont 2 professionnels, et après un bref discourt le traditionnel « Shuffle up and deal » est prononcé.
Rapide rappel de la structure : Round de 30mn, 5/10, 10/20, 15/30, 25/50, 35/70, pause de 1/2h, 50/100, 75/150, 100/200, pause de 1/4h, 150/300, 200/400, 300/600. Fin de day1.
Lors de l’étape lyonnaise, je m’étais retrouvé ultra short d’entrée. Je m’interdis de reproduire ce départ et décide d’opter pour un mode serrure durant les 3 premiers rounds voire jusqu’à la pause qui interviendra après 2h30 de jeu soit 5 niveaux.
Ma table semble faible et est très passive. Peu de flop sont découvert et les pots dépassent rarement les 10 blinds. Très rapidement je vais voir que mes camarades de tablée sont pour la plupart des novices et je vais donc m’attelé à les impressionner en donnant beaucoup de consignes, répondre rapidement aux questions diverses et en dealant aussi vite et bien que possible. Cela semble assez bien marcher et je deviens le capitaine de table, lol !
Malheureusement, aidé par les cartes (je ne vois quasi rien), je ne vais presque pas jouer durant 2h30 ! Bon, en même temps, c’est ce que je voulais… Sauf miracle, il est rare de toucher que des monstres en début de tournoi !
Ma première main gagnée sera un walk sur ma première BB (j’avais un semblant de monstre avec Ako…). Je vais limper un 22 au cut off que j’abandonne sur le flop puis plus rien jusqu’à ma prochaine SB (10/20) où je relance à 55 avec K7s et CB à 80 sur un baby flop.
3 mains jouées en presque 1h30 et 3 rounds. Ma gauche est laissé vacante après l’élimination du premier joueur à notre table et un remplaçant est attendu… 2 minutes plus tard, belle surprise, au propre comme au figuré puisque c’est la très charmante Almira Skripchenko qui nous rejoint !
Cela mets de l’animation et de l’effervescence à la table… Appareils photos, caméras, journalistes et public affluent autour de nous. A la fois agréable et gênant !
Je suis très heureux de partager la table avec une pro qui plus est fort sympathique et très accessible! Je vais d’ailleurs profiter de ma proximité pour bavarder avec elle durant les quelques minutes partagées.
Quelques minutes seulement… Car Almira (nous nous appelons par nos prénom maintenant que nous sommes intimes !) arrive avec un petit 495 de tapis après avoir été prise en flagrant délit de bluff, dixit ces propos! Si je suis bien content de voir un pro à ma table, je le suis moins niveau jeu… Son petit tapis conjugué à la stagnation du mien (1500) et de sa position risque encore de plus me bloquer !
Cependant, je reçois 33 en MP la main suivante et décide d’ouvrir à 105 (on joue la fin du niveau 3 15/30). Habituellement j’aurais très certainement limpé mais ici la BB est encore plus serrure que moi et n’a pas joué une main. De plus la passivité de la table et mon image devrait suffire. Reste le cas Almira qui avec ces 495 bénéficie d’un bon levier pour pousser avec un large éventail. D’ailleurs, elle hésite et fini par juste call.
Le CO et bouton font de même et nous somme 4 à voir ce flop K72 avec 2 piques.Premier de parole, je CB à 250 et gagne le pot sur 3 fold. Le CB était risqué mais c’était là ma seule chance de gagner ce pot. Mon image a clairement été bénéfique ici. Je voulais représenter AK, réussit puisque ma copine Almira me dira qu’elle avait failli pousser avec AQ mais qu’elle s’est abstenu me mettant sur AK après mon CB.
Bref, du coup, je gagne mon 1ier vrai pot et monte à 1800.
La main suivante, engaillardi par la précédente, j’ouvre à nouveau à 105 avec JTs. Je suis payé 2 fois (Bouton et SB) et trouve un merveilleux flop K89 dont K9s. SB check, idem pour moi et bouton relance à 200. SB call. Avec mes, vraisemblablement 15 out minimum, je pousse assez vite mon tapis. Récupérer 600 jetons me convient mais j’avoue ne pas être contre un call ici… Mais les 2 se couchent et je grimpe à 2400 jetons que je garderais jusqu’à la pause.
Avant celle-ci, Almira est éjectée du tournoi par un crétin. Il se fera d’ailleurs copieusement pourrir. Sur la SB d’Almira, crétin en UTG limp 50. Tous se couchent et la parole revient à la pro qui pousse sont tapis pour 385. BB fold et crétin fini par payer en jetant la moitié de son stack et en déclarant « allez pour le fun ! ». Almira montre AQ et crétin J5s (super limp UTG) Bien évidement un J au flop et l’on peut dire au revoir à la pro de la table qui était super sympa… Merci crétin.
Pour cette insolence il sera puni et deviendra le bouc émissaire de la tablée et finira par sauter juste avant la pause que j’atteins avec 2350.
1/2h de break, le temps de fumer et de partager les impressions avec les collègues. Mais personnes de BHP n’a vraiment monté de jetons. Tout reste à faire.
De retour à la table, les blinds sont à 50/100 et j’ai décidé de changer de rythme. Je prends 3 fois les blinds et perds les miennes avant que notre table ne casse malheureusement… 3h d’image foutu en l’air…
Et je me retrouve en table 3 où les tapis sont plus importants. Le niveau de jeu est clairement plus élevé aussi. L’ambiance également est moins bonne. Il y a 2 grandes gueules qui s’interpellent sans arrêt. Avec moins de 25 blinds, je dois commencer à songer à bouger un peu plus.
Mais je vais faire un mauvais fold et un mauvais call en 2 mains consécutives.
Je vois KJs (trèfle) en fin de parole et ouvre à 275. Payé par la BB, une des deux grandes gueules qui vient de prendre un sale coup. Le flop donne 893 avec 83 carreaux. Et BB insta pousse tapis pour 800. J’ai une grosse décision à prendre. Et j’hésite vraiment à payer. Je ne pense pas qu’il a touché ce flop. Il aurait plutôt opté pour un check raise vu son tapis. Ce moove polarise sa main et il a, soit 77/TT, soit JT/67, soit 2 carreaux… Un cas où je suis largement dominé, un cas où je domine largement et un cas à l’équilibre selon ça hauteur… Plus le temps passe et plus j’ai envie de le payer mais je finis par passer après qu’il ait demandé le time en lui montrant ma main. Il avait JT… Mauvais fold qui ne me coûte que ma relance PF mais qui me turlupine un peu.
Main suivante j’ouvre AJs et décide de caller et de partir à tapis sur n’importe quelle relance. Mais c’est un short avec environ 1000 qui boite et je sais que contre lui je dois passer car je suis au mieux en CF. Je call et voit JJ en face. Pas de miracle.
Deux mauvais coups, joués médiocrement, qui me font tomber à 1000 tout rond sur les blinds 75/150 !
Le moral est au plus bas et bien sur, je ne vais rien voir derrière sur ce round pour pousser mes 6BB mais miraculeusement je vais bénéficier d’un walk me laissant à 1000 pour le niveau suivant riche en émotions !
Nous jouons le round 100/200 et UTG+2 relance à 600. Grande gueule paye et je fais tapis fort de mon KK. UTG+2 boite à 1300 et grande gueule repaye ! Alors que je m’attends au pire (le classique AA en face), quelle surprise de voir A8s à trèfle et J4s à cœur ! Me voilà finalement très bien pour tripler !
Mais le flop est horrible et donne 653 avec 2 trèfles et un cœur ! En clair je dois maintenant éviter les 3 As, les 9 trèfles, les quatre 2 et les quatre 7… La turn m’épargne avec le 9 de cœur mais n’est pas moins horrible rajoutant 7 cartes à éviter (les cœurs). Il y a donc en tout 23 cartes qui mettraient un terme à mon FPT…
Et la river est un miraculeux 9 de pique ! Et ben là, je ne sais pas par où je suis passé mais me revoilà booster à bloc avec 3300 de tapis soit 22BB ! Incroyable et impensable lors de l’abattage du flop…
Quelques mains plus tard je suis de BB tout seul et la deuxième grande gueule me relance à 600. Je vois QJs à pique et décide de payer et de boiter sur tout flop m’apportant paire ou tirage max (exception des ventrales).
Cette fois le flop est favorable avec 893 dont 89 piques. Je check call la mise à tapis de grande gueule de 1100. Il montre Ako, trouve un roi au turn mais je flush avec le 4 de pique river. 6000 jetons et plus haut niveau atteint de la journée alors que nous arrivons au second break du jour!!
La dernière heure est quasiment vierge. Je pousserais deux fois tapis en ouverture avec AK et AJ pour prendre les blinds et finir le day1 avec finalement 6900 soit 8.5BB à la reprise le lendemain.
Il est temps de retrouver les copains et force est de constater que BHP est bien représenter avec 6 éléments pour le day2 !
Malheureusement personne ne possède de tapis digne de ce nom… Laulau pointe à 5000, Simlastar à 7200, reflexe 7000, nicoté 7000 et fred70 9500… Rien d’extraordinaire mais on a au moins le mérite d’être là ! Et avec 108 rescapés pour le day2, je ne pense pas trop m’avancer en disant que BHP est certainement l’une des associations la mieux représenté.
Personnellement, je dois bien avouer que j’ai fini ce day1 complètement las, épuisé, éreinté, éteint ! Et que la présence des potes est d’une extrême motivation ! Car on n’a pas envie de sauter avant ! Car on a envie de partager ces moments là !
En tous cas, confirmation est faite que le poker est réellement un sport qui demande une grosse préparation physique, mentale et psychique ! Respect aux professionnels qui restent assis durant plusieurs jours…
21h. La journée n’est pas pour autant terminée. En effet, profitant de ma présence, les beaux-parents ont invité une partie de la famille pour un petit repas (petit étant faible, Laulau confirmera).
Ainsi, nous somme 12 dans la salle à manger pour partager victuaille et boisson. Un menu que je vous offre pêle-mêle :
–Apéritif composé d’une mixture fortement hallucinogène (Soho, vodka, mangue, ananas) et de divers amuses-bouches.
–Entrée salade avec cake indou (très apprécié).
–Riz avec sa garniture de poulet sauce champignon noir et piment. (Juste énorme).
–Plateau de fromages locaux et autres.
–Gâteaux, café et digestif.
Le tout copieusement arrosé de, pour les connaisseurs qui apprécieront :
1 bouteille de St-Aubin (Blanc),
1 bouteille de St-Chinian cuvée 2006,
1 bouteille de Corbière cuvée 2006,
1 bouteille de St-Emilion 2001.
Bref, la fin de journée est aussi bonne pour les papilles que dure pour le physique ! Tant est si bien qu’à 1h passé du matin, c’est un semi-zombie qui s’écroule dans le lit pour n’émerger que vers 11h30…
Après un petit déjeuné copieux, nous nous retrouvons pour 14h au palais des congrès. Nous repartons pour 3 rounds avant une pause de 15mn. Puis les ultimes survivors combattrons jusqu’à ce qu’il ne reste plus que 10 joueurs.
Avec 6900, moins de 10 BB, je n’ai plus d’alternative. Je suis en mode binaire, push or fold. J’ai 8 mains devant moi avant de placer 800 de grosse blind. Mais rien ne se présente et je me prépare à m’amputer de 800 jetons quand un des directeurs de tournoi vient me voir et me déplace à une autre table !
La bonne nouvelle est que je rentre au cut off, me laissant donc un nouveau tour de table devant moi. La mauvaise est que je me retrouve à gauche de Laulau (5000) et en face de simlastar (7200).
Je ne vais à nouveaux rien trouver pour pousser si ce n’est 2 A4s où je suis contrains de jeter suite à un push de Laulau et à un push d’un autre short stack…
Les blinds m’épargnent car je bénéficie d’un walk de Laulau, et 3 mains plus tard, enfin je trouve une paire de 7 et ouvre à tapis. La SB se réveille et pousse le sien pour 2600. Evidement il montre 88 et pas de miracle…
Je suis toujours vivant, mais avec dorénavant seulement 4300… Il fallait gagner la première main dans laquelle je m’investissais… Raté. Les conséquences sont terribles. Avec 8BB, j’avais encore un peu de FE. Les blinds passant à 600/1200, je ne peux que trouver un monstre et tenir où chatter sur un push avec une main spéculative…
Je vais tous mettre une première fois avec KTs et prendre les blinds (Sim est en BB) puis je vais tous réinvestir derrière avec A8s.
Mais cette fois je suis payé par le bouton qui montre TT. Le board est sans appel avec 39T97.
Et c’est la fin de la chevauchée dijonnaise… Le tableau m’annonce 85ième. Honorable.
Tant pis, la coupe sera pour un autre !
Un day2 finalement hyper frustrant car je n’aurais tous simplement pas joué… Si le FPT est une belle chose à vivre pour tout joueur amateur, il faut bien reconnaître que la structure, à partir de la 3ième heure de jeu, ne se prête pas à du poker haut de gamme ensuite… C’est clairement un tournoi où la chance et les cartes sont prépondérantes. J’en veux pour preuve le tapis moyen qui ne dépasse pas les 10BB à partir du round 300/600.
Personne de BHP n’arrivera à accrocher le top 10. Tous ayant rendu l’âme avant la 30ième place, résultat plus que bon. GG à toute la team BHP, fort bien représentée durant le week-end.
L’aventure FPT saison V prend vraisemblablement fin ici pour moi. Il reste bien une étape qualificative à Montpellier, mais elle se déroule le lendemain de la dernière manche live de l’association. Classé ici 5ième, je compte bien, si je peux, défendre ma place d’honneur voire mieux et pourquoi pas aller taquiner mon ami Laulau large chip leader (mais là il me faudra une intervention divine…) De toutes façon, qui dit dernière manche, dit bringounette derrière. Donc hors de question de prendre la route pour la méditerranée le lendemain matin à point d’heure !
Reste les qualifications directes pour la finale qui ont lieu sur le net… Mais là aussi, cela paraît compliqué… Néanmoins, pourquoi ne pas tenter ma chance sur ces qualifers via des tickets… Pour cela, il me faudra de la belle rencontre comme celle ci-dessous, première main du FPT Dijon entraînant la sortie du premier joueur…
Voilà, fin de l’article. En conclusion, je dirais que malheureusement la mayonnaise n’a pas pris lors de ce week-end. Malgré tout un bon séjour bourguignon où le comble aurait été que la moutarde me monte au nez !
J’espère que ce post n’aura pas été trop chiant à déchiffrer !
Allez ce sera tous et c’est déjà pas si tant mal !
Peg.